Hier, les 70 activistes ont assisté à Alger aux travaux d’une caricaturale «rencontre internationale sur le droit des peuples à la résistance» et auraient appelé l’ONU à protéger «les séparatistes de l’intérieur» contre de prétendues «violations de leur liberté d’expression». Les services de renseignements algériens, organisateurs de cette mascarade, qui ont payé les billets d’avion et ont accordé 1500 dollars à chacun des 70 comparses, oublient pourtant que «l’appel à l’ONU» qu’ils ont lancé n’aurait pas été possible si le Maroc ne respectait pas le droit de circuler et de s’exprimer de l’ensemble des citoyens des provinces du Sud. Est-ce le cas pour les séquestrés de Tindouf ?