Soixante-quinze personnes sont mortes dans des violences politiques en Algérie au mois de septembre, dont 60 tuées dans des attentats suicide, soit plus du double du bilan du mois d’août, qui était de 29 morts, selon le décompte de Reuters établi à partir des informations diffusées dans les médias. Ce bilan porte à 369 depuis le début de l’année le nombre de personnes tuées dans les attentats revendiqués par Al Qaïda au Maghreb ou dans les affrontements entre l’ancien Groupe salafiste pour la prédication et le combat et les forces de sécurité.