Que se passe-t-il au juste au Centre marocain pour la démocratisation des élections ?
Après la démission de l’un de ses fondateurs, M. Mimouni, voilà qu’une députée écolo, au Parlement belge, Fatiha Saidi, annonce qu’elle n’a jamais fait partie de ce centre. Le seul lien qu’elle dit avoir avec ce centre, ce sont deux courriers électroniques échangés avec Saadia Kabil, une dirigeante de cet organisme. La députée qui ne peut être membre d’un organisme pareil, vu son statut, dit avoir appris fortuitement qu’elle en est membre. «Dans le cadre de mes activités politiques en tant que femme politique belge (Il ne m’est nullement permis de m’intégrer dans les affaires politiques marocaines, ce qui, à la lecture des objectifs du Centre est tout à fait le cas. Je n’aurais pu, par ailleurs, exercer une telle activité sans informer et sans obtenir l’autorisation des instances de mon parti que je représente, en tant que parlementaire.