Le ministère de la Santé a indiqué qu’il suit de près les résultats des études ordonnées par les autorités sanitaires européennes au sujet d’un lien probable entre I’utilisation d’un analogue d’insuline, commercialisé sous le nom «Lantus», et un risque de cancer. Le département de la Santé a précisé qu’il «prendra, en temps opportun, les mesures nécessaires à la protection de la santé des patients traités à l’insuline», ajoutant qu’à ce jour aucun pays n’a décidé le retrait des insulines de type Glargine, dont le Lantus. L’ Agence européenne des médicaments (EMEA) et I’ Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS) procèdent à la vérification des résultats des études, publiées par la revue «Diabetologia». À ce stade, les deux agences ne formulent aucune conclusion scientifiquement.