Le décès du dénommé Mohamed Nahri, qui était détenu au Centre de réforme et de réhabilitation de Salé, «était naturel, consécutif à l’interruption de la circulation sanguine dans les poumons», a affirmé le parquet près la Cour d’appel de Rabat. Un communiqué de la Direction de l’administration pénitentiaire et de réinsertion, indique que l’autopsie, ordonnée par le parquet et effectuée par une commission médicale tripartite, a conclu que le décès était naturel, précisant que le défunt ne présentait auparavant aucun symptôme de maladie. La même source ajoute qu’une copie du rapport d’autopsie a été mise à la disposition des ayants-droit du défunt à toute fin utile, de même qu’une autre copie a été transmise au Conseil consultatif des droits de l’Homme (CCDH).