24 heures

«Paris Match» fait l’éloge de la « Fulgura »

La « Fulgura », superbolide estampillé « Made in Maroc », dont les premiers exemplaires devraient sortir prochainement de l’usine Laraki automobiles de Casablanca, est l’une des vedettes du Salon mondial de l’automobile de Paris, écrit le magazine « Paris Match » dans son dernier numéro.
Le projet Fulgura, la première supercar du continent africain, est né quand Abdeslem Laraki, animé depuis l’enfance par une véritable passion pour l’autombile, décide de fabriquer sa propre voiture et partant de devenir un constructeur à part entière, relève la publication.
Présenté au Salon de Genève en 2002, le projet évolue en deux ans vers une automobile aboutie aux « spécificités techniques sans équivoques », ajoute-t-elle, faisant savoir que les tarifs de la « Fulgura » ont été alignés sur ceux de la concurrence la plus huppée: la version V8 devrait débuter à 300.000 euros et la V12 flirter avec les 450.000 euros.
Revendiquant la conception 100% marocaine de la « Fulgura », Abdeslem Laraki, qui avait réalisé le plus grand yacht du monde (115 mètres), souligne que « le Maroc n’est pas un pays de culture automobile mais il ne manque pas de compétences ».
Ouvert samedi dernier, le Salon mondial de l’automobile de Paris, organisé tous les deux ans, espère attirer, seize jours durant, près d’un million et demi de visiteurs en dépit d’un contexte morose pour les ventes.

Articles similaires

24 heuresSociétéUne

Immersion dans les laboratoires de la fondation MAScIR

Elle développe plusieurs projets à la fois

24 heuresUne

Accidents de la circulation : 29 morts et 1.926 blessés du 13 au 19 août

Un total de vingt-neuf personnes ont été tuées et 1.926 autres blessées,...

24 heuresUne

Enlèvement, séquestration et viol avec violence : Trois personnes arrêtées à Casablanca

Les services du district de police de Hay Hassani à Casablanca ont...

24 heuresLivreUne

Parution du roman «Rhapsodies de Tanit la captive», d’Ahmed Boukouss

«Rhapsodies de Tanit la captive» est l’intitulé de l’ouvrage d’Ahmed Boukouss, qui...