« Suite à la publication dans votre numéro 423 du 9 juillet 2003 de mon article intitulé : Psychologiquement installé dans la mort » (page 7) je tiens à apporter les rectifications suivantes : S’il est considéré que les éléments figurant dans l’article concernant le président de Sapress, Mohamed Berrada, ne reflètent pas la réalité et en particulier le cas de versement de ce dernier, d’un montant mensuel à Ali Lmrabet, permettez-moi de prendre acte de cela. Par voie de conséquence, je considère que ces indications sont inexactes et non prouvées. Aussi j’exprime à l’intéressé toutes mes excuses. Signé : Robert Assaraf ».