Cette question a été posée par les parlementaires mercredi 24 décembre à Mustapha Ramid, ministre de la justice lors d’une réunion de la commission de la justice, de la législation et des droits de l’homme.
La réponse : « on ne peut pas considérer en soit le fait de mettre « J’aime » comme l’expression d’une pulsion ou une attitude terroriste, comme on ne peut pas affirmer que c’est le contraire », rapporte un communiqué du cabinet du ministère, rendu publique jeudi soir 25 décembre 2014.
Selon la même source, seules les preuves et les données liées à la personne concernée peuvent démontrer la vérité. Pour le département de la justice : « Appuyer sur « j’aime » peut donc être interprété comme l’acte d’un potentiel terroriste au même titre qu’il peut émaner d’un individu par inadvertance ou sans avoir l’intention de nuire».