Mais dire que nous vivons la psychose des attentats terroristes est faux. Depuis le début des événements terroristes, les Algériens sont blasés, la banalisation de la mort y est, peut-être, pour quelque chose. Ce malheur finira bien un jour inchaallah. Quant à la presse algérienne, ne vous fiez pas trop d’elle car elle n’a jamais été ni au service de la société ni au service de la vérité. Pour preuve : la lutte féroce que mène cette presse contre la langue et la culture arabes.
• Bachir Mahrez (Algérie)