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Hamad Kassal : «La montre est un gadget qui nous permet de se repérer»

© D.R

L’homme d’affaires Hamad Kassal possède une montre de marque Seiko qui lui a été offerte par son beau-père en 1987. «Ma montre Seiko est un objet très précieux pour moi. Elle m’a été offerte par mon beau-père à l’occasion de mon mariage en 1987, à Beyrouth au Liban. Je venais à l’époque de terminer mes études», a précisé M. Kassal qui affirme ne pas être un amateur de montres. La montre de M. Kassal est donc, pour lui, un moyen qui lui permet de se rappeler des inoubliables moments du jour où il est sorti du célibat vers le mariage. Parlons le langage des marques, la montre Seiko, une marque japonaise, plaît beaucoup à notre homme d’affaires. «Ma montre Seiko est de bonne qualité. C’est une montre qui respecte ses engagements par rapport au temps. Depuis 1987, cette montre tourne toujours très bien et quand elle s’arrête je ne fais que changer la pile ou la réparer», a précisé M. Kassal. Pour ce chef d’entreprise, la valeur de la montre n’est nullement due au fait qu’elle soit chère. Il est question pour lui de bonne utilisation de cet instrument qui nous indique le temps. «Pour moi la montre est un gadget qui nous permet de se repérer par rapport au temps. Elle nous permet de respecter les rendez-vous et les horaires. Ce qui compte, donc, est la gestion du temps et le plus important c’est de respecter le temps que la montre nous indique. En fait, celui qui ne respecte pas un rendez-vous qu’il s’est fixé lui-même tout en portant une montre c’est comme s’il insulte sa montre, parce qu’elle ne vaut rien et ne sert à rien dans ce cas», a expliqué l’ex vice-président de la CGEM. Côté design, la montre Seiko de M. Kassal a un bracelet en cuir avec un fond doré bien qu’il ne soit pas de l’or. Avec un esprit humoristique, M. Kassal a tenu à raconter à ALM une petite anecdote se rapportant à son histoire avec la montre. «Je me rappelle qu’un jour j’étais dans une cérémonie quand un ami m’a dit que il avait une montre qui lui a été offerte par sa femme et qui coûte 200 mille DH. Je lui ai dit que c’est bizarre! moi j’ai une montre qui vaut deux cents fois moins que la tienne et qui tourne dans le même sens que la tienne!(rires) Je lui ai dit, si ta montre t’indique midi, ma montre l’indique aussi!», a-t-il révélé. Cette petite histoire traduit la vision de M. Kassal à propos de la valeur de la montre. «Une montre, c’est pratiquement comme un livre. Certains utilisent le livre pour s’éduquer et pour apprendre alors que d’autres le rangent dans une bibliothèque sans jamais l’utiliser. Donc, c’est là toute la question. Il ne s’agit pas d’avoir un livre mais il est question de bien l’utiliser. C’est le cas aussi pour la montre. Il ne suffit pas d’avoir une montre très chère mais encore faudra-t-il l’utiliser dans le bon sens. Porter une montre c’est encore plus important que de se faire beau ou pour frimer», a conclu M. Kassal.

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