Le constructeur d’automobiles japonais Nissan a reconnu lundi que la plupart de ses usines au Japon avaient employé des méthodes de contrôle de pollution de véhicules inappropriées.
Les mesures des performances concernant les émissions de gaz d’échappement et des tests d’économie de carburant n’ont pas été effectuées conformément au protocole prescrit dans cinq des six usines du groupe au Japon et les rapports d’inspection ont été basés sur des valeurs de mesure altérées, a expliqué le constructeur dans un communiqué.
Nissan, partenaire de Renault, n’a initialement pas donné de chiffres, mais a ensuite fourni lors d’une conférence de presse des documents indiquant que seulement 1.171 voitures étaient concernées et 10 responsables des contrôles finaux de véhicules impliqués dans l’utilisation de ces méthodes non conformes.