Ça y est. C’est la fin. La fin de l’année. Une année pas comme les autres. D’ailleurs, si on y réfléchit bien, toutes les années ne sont pas comme les autres.
En fait, elles sont différentes les unes des autres, mais si semblables. Chacune possède son lot de joies, de tristesses, de plaisirs, de déceptions, de surprises, parfois agréables, parfois désagréables, d’évènements heureux, rares, malheureux, plus fréquents…
Ainsi va la vie. A chaque fois qu’une année passe, on fait plein de vœux pour qu’elle soit meilleure que la précédente… Ça peut parfois être le cas, mais, celle qui suit, n’est pas forcément pire, mais elle n’est pas, dans la plupart des cas, forcément meilleure.
Pour moi, par exemple, l’année 2015 a été une année où j’ai connu quelques moments heureux, d’autres beaucoup moins, j’ai eu de nouveaux amis, oh, pas nombreux, j’en ai perdu quelques-uns en route, certains sont partis pour toujours, et j’ai surtout, comme toujours, fait beaucoup de rêves. Le rêve, c’est ce qu’on a de mieux, quand on n’a rien d’autre.
Et l’avantage avec les rêves, c’est que tant qu’on ne les a pas réalisés, ils restent toujours valables. Ils ne sont jamais périmés parce que, tout simplement, ils n’ont pas de date de péremption. Voilà. C’était le dernier mot pour rire de l’année. Avec tous mes vœux pour la prochaine. D’ici là, un conseil : n’arrêtez jamais de rêver.
A demain. Pardon. Au revoir… un jour… peut-être ailleurs…