Chroniques

Le mot pour rire

© D.R

Dima jeunes

Samedi soir, alors que je me dirigeais vers la Place des Pigeons pour…euh… couvrir le 1er anniversaire du jour où tout a basculé, je me suis trouvé face-à-face avec des groupes d’ados fous-furieux qui menaçaient tout le monde et qui cassaient tout sur leur passage. J’ai pigé très vite qu’il ne s’agissait pas de révolutionnaires rouges, mais de « simples » supporters qui avaient un « vert » dans le nez. Quand je suis arrivé sur la Place, les pigeons l’avaient gentiment cédée à des jeunes aux mines joviales qui s’activaient à faire la fête à coups de pancartes, de palabres, de chants et de… tagines. Comme quoi, le danger ne vient pas toujours de là où l’on pense.
A demain

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