Chroniques

Le mot pour rire : Après le mouton, le beau temps ?

© D.R

Il existe chez nos voisins du Nord ce qu’ils appellent « La trêve des confiseurs », autrement dit une période – plus ou moins après Noël – où le business se met en mode « pause », mais je ne savais pas qu’on avait ça aussi chez nous.

Même si personnellement je n’ai rien senti de tel du fait de mon nouveau statut de « profession libérale artistico-sociale », plusieurs sources concordantes m’ont confirmé que depuis la fête de l’aïd dit « lakbir » en raison sans doute des grandes dépenses qu’il engendre, tout, chez nous, semble somnoler.

On m’a donné plusieurs explications dont notamment le congé annuel de certains commerçants, artisans, maçons, peintres, plâtriers et autres manœuvriers, mais ce que je n’arrive pas à piger, c’est pourquoi nos politiques se sont mis également au vert.

C’est vrai, ils continuent toujours de beaucoup parler et gesticuler mais point d’actes réels et notables. Mais, espérons qu’après les brochettes et les côtelettes, ils vont arrêter de nous manger la cervelle, et nous montrer enfin ce qu’ils ont dans les tripes.

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