Le sujet que j’aborde aujourd’hui est un peu sensible, et je dois faire gaffe pour éviter un sacrilège. Priez pour moi. Quand vous aurez le présent billet sous les yeux, vous allez être, peut-être, dans une nouvelle année, car ce n’est jamais sûr puisque c’est toujours à un jour près. Bien sûr, ce n’est pas le nouvel an, comme l’appellent les fêtards, mais, c’est quand même l’année nouvelle de l’Hégire. C’est compliqué à vous expliquer, mais c’est simple à reconnaître : c’est un jour férié. Comme disent certains tire-au-flanc impies : il n’y a que ça d’intéressant. Ils ne comprennent pas pourquoi il y a deux années, mais un seul réveillon. Moi, je n’ai pas d’avis là-dessus, mais ce que j’aime bien dans cette occasion, ce sont les vœux. Oui, ce ne sont souvent que des vœux pieux, mais, par les temps durs qui courent mais pas assez, ce n’est pas de refus. D’ailleurs, je vais en profiter pour vous souhaiter une très bonne année, et si tout va bien, un très bon long week-end.