Chroniques

Le mot pour rire: Ce qui est dit est dit !

© D.R

Ah, celle-là, je ne pouvais pas la rater ! Non, il ne s’agit pas de ce mot si gros que je ne pourrais pas répéter ici de peur d’avoir des problèmes avec… le Mexique.

Je veux parler plutôt de cette déclaration de M. Daoudi qu’il a aussitôt reniée. «Monte prendre ta bourse généralisée, descends qui te l’a dit ?!». En effet, accorder une bourse à tous les étudiants, soit 615 000, c’était un peu trop gros aussi. «Mais, je n’ai pas jamais dit ça !», proteste laborieusement notre ministre trop généreux.

Sa généralisation à lui «ne concerne que la partie des candidats dont la demande se heurte à un avis défavorable pour des raisons budgétaires».

Quand on élimine tous les enfants de riches que M. Daoudi ne semble pas porter dans son cœur et tous ceux qui ne font pas de demande par orgueil ou par dédain, il ne resterait plus que… 230.000 bénéficiaires d’une bourse qui est loin d’être bien garnie.

D’ailleurs le soir même, à la télé, un des étudiants dédaigneux expliquait que la bourse devrait être au moins égale au SMIG… des fonctionnaires. Alors qu’en dit M. Daoudi ?
A demain

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