Chroniques

Le mot pour rire :Guerre et péage

© D.R

J’ai failli titrer ce billet «Péage et Moyen âge», mais j’ai déjà placé un truc comme ça, il y a quelques jours. Cela dit, je n’en pense pas moins. D’abord, sachez que je vais parler du «péage de ville» appelé par ses victimes : «Le sabotage».  Ce matin, j’ai garé ma bagnole dans une rue, je me suis dirigé vers le pique-sous, j’ai mis des sous et j’ai récupéré le ticket que j’ai placé aussitôt sur le tableau de bord, bien en vue. Et voilà qu’un «gardien» sans plaque ni tact, se pointe derrière moi. «Mais, pourquoi tu as payé ?», m’engueula-t-il. «Le péage ne marche plus. Ici, c’est moi qui encaisse». J’ai été estomaqué, mais j’ai tenu à lui faire remarquer que si la machine marche, c’est que le péage est toujours valable. «Non, c’est chez moi ici, et c’est moi que tu dois payer !». Je ne vous dirai pas ce que j’ai fait, mais vous pouvez deviner. Ceci dit, j’aimerais que les concernés fassent aussi leur boulot. Au fait, C’était dans la rue Picardie au quartier Gauthier à Casablanca. Vous voulez aussi mon numéro ? A bons élus, salut
A demain.

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