Je crois que c’est Edgard Morin qui a écrit un jour «Tout est dans la partie qui est dans le tout». Moi, aujourd’hui, j’ai envie de dire dans un autre registre qui n’est pas tout-à-fait le sien : «Tout était dans le parti, qui n’est (presque) plus rien». Franchement quand je vois ce que vous avez sûrement vu également ces derniers jours, je me dis qu’un parti, fut-il «la conscience de la nation», comme il le prétend, doit comprendre qu’un jour ou l’autre, il va dépérir et finir par partir. C’est comme certains vieux : à force de s’efforcer de paraître toujours jeune, ils ne se rendent pas compte que tout le monde a envie de prendre leur place avant même qu’ils disparaissent. Toute ressemblance etc. etc. etc.
A demain