Chroniques

Le mot pour rire: La mie n’a pas de prix

© D.R

Attention, je ne suis pas en train de le défendre, il est assez grand et assez nombreux pour le faire tout seul, mais je voudrais juste dire qu’on ne lui laisse aucun répit. Rappelez-vous, il y a à peine quelques semaines, il a subi une «grève générale» de la fonction publique. C’est vrai que finalement cette grève n’avait de général que le mot d’ordre et que la plupart des fonctionnaires ont continué de fonctionner plus ou moins normalement, mais, bon, c’est le principe…

Et voilà que les 3 plus « grands » syndicats du bled annoncent pour fin octobre une autre grève générale mais cette fois-ci « nationale ».

Oh, que ça fait peur ! Et comme un malheur ne vient jamais seul, ce sont les boulangers qui se mettent de la partie en décidant d’augmenter le prix du pain de 20 cts dès la semaine prochaine. Personnellement, ça ne me dérange pas car j’ai les moyens et je ne suis pas très porté sur le pain, mais le pauvre gouvernement, qu’est-ce qu’il risque de souffrir !
A demain

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