L’actuelle est loin d’être réjouissante. Le drame terrible d’Al Haouz est venu nous rappeler de la manière la plus sanglante les failles de nos règles globales de conduite. Dans un autre pays réellement démocratique, des enquêtes seraient diligentées, des têtes tombées, et des gouvernements démissionner. Chez nous, rien de tout cela. On déplore, et… on fait le mort. Non, je ne rigole pas. J’adore l’humour noir, mais là, en ce moment, j’ai surtout envie de râler, de gueuler et même de chialer. Heureusement que nos représentants à Londres, ces sportifs dits « handicapés », nous ont montré qu’ils ne sont pas, eux, des bras cassés. J’aimerais bien que dès leur retour au pays, ils donnent un bon coup de pied dans la fourmilière.
A demain.