Chroniques

Le mot pour rire : Les nouveaux mouchards

© D.R

Je vous le disais ici même il y a quelques jours : ministre est un métier vraiment à risque. Je le disais bien sûr à propos de l’agression de M. El Ouardi qui, depuis, s’est refait une nouvelle santé et a repris de belle

. Si je reviens à la charge, c’est parce que d’autres malades viennent d’attaquer à coups de pierres son camarade et collègue de l’habitat, mon ami Nabil Benabdellah. Si j’ai décidé de rendre publique notre amitié, ce n’est pas seulement pour frimer, mais c’est aussi pour réaffirmer que même si je ne suis pas toujours d’accord avec les idées de Nabil ou avec ce qu’il fait – au rayon politique, je précise – je le défendrai contre tous les lâches et tous les tarés.

Je voudrais également dire à tous ces voyous, qu’ils soient de fumeux cols blancs, de funestes militants ou de fumistes diplômés chômeurs, que l’agression est l’arme du faible et qu’elle ne fait que renforcer la persévérance du fort. C’est Alexandre Dumas qui a dit un jour : « Laissez-les me jeter la pierre, c’est le commencement du piédestal ». Chut ! Ne leur dites rien !

A demain

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