J’ai l’impression que notre gouvernement navigue les yeux fermés. En tout cas, on ne peut pas dire qu’il calcule vraiment ce qu’il fait. Le meilleur exemple c’est l’augmentation saugrenue et mal venue du prix des carburants. Oui, j’en ai déjà parlé hier, mais j’avais oublié de souligner qu’elle a eu lieu à quelques heures d’intervalle d’une autre catastrophe, elle, programmée de longue date, à savoir la déconfiture de notre «sélection» face à une équipe modeste, certes, mais qui nous en a fait voir de toutes les couleurs. Peut-être que le gouvernement n’y est pour rien, mais il a intérêt à carburer un max, et fissa, s’il ne veut pas que les indignés investissent le terrain. Je l’aurais prévenu.
A demain.