Notre réputation de pays exotique vient de se confirmer d’une manière pour le moins spectaculaire. Un mini tsunami mais un tsunami quand même s’est déclenché mardi matin sur notre côte atlantique, pas de Tanger à Lagouira, mais il s’en est fallu de peu.
En effet, de Larache à Safi en passant par Salé et Tahiti, des vagues immenses comme des collines se sont donné à cœur-joie au grand bonheur des curieux et des envieux mais au grand malheur des estivants, des restaurateurs et des pêcheurs.
Tout en compatissant avec toutes les victimes de cette catastrophe somme toute naturelle attribuée à une météo particulièrement capricieuse, je voudrais noter qu’en parallèle, le même jour, notre champ politique était submergé par des flots de discours plutôt creux sur le droit des uns d’interdire plus ou moins tous les droits et le devoir des autres plus ou moins de la fermer jusqu’à nouvel ordre. Bref, ça débordait de partout. Et avec ça, il ne pleut toujours pas. Les politiciens, je veux bien, mais si on ne peut plus faire confiance à la météo non plus…
A demain