Chroniques

Le mot pour rire : Quoi compense… ?

© D.R

Je conviendrais avec vous sans problème que ce titre est grammaticalement naze et stylistiquement biscornu, mais n’empêche que la question mérite d’être posée. D’ailleurs, je vais de ce pas vous la poser : on ne compense plus ou quoi ?  Si oui, quand, comment et, surtout, quoi ?  En effet, après avoir promis de casser la caisse quoi que ça lui en coûte – et entre nous, ça risque de lui coûter bonbonne si jamais il passe réellement à l’acte – j’ai l’impression que le gouvernement, ou plus précisément ceux qui le dirigent, est en train d’amorcer une petite marche arrière sans feux de détresse. Et je ne crois pas qu’il le fait sous la pression d’une partie de l’opposition qui crie à hue et à dia que ça serait la pire chose qui pourrait arriver aussi bien à ceux qui n’ont pas les moyens qu’à ceux qui sont dans la moyenne, mais je pense surtout qu’il n’arrive toujours pas – et il n’arrivera sûrement jamais –  à identifier les vrais gens dans la mouise. En attendant, il essaye de gagner du temps, mais il doit faire vite avant que l’eau n’entre dans le gaz.
A demain

Articles similaires

Chroniques

Se comparera bien qui se comparera le dernier… !

Toutes les comparaisons ne sont pas dangereuses pour nous et il en...

Chroniques

Un «sacré» ftour pluriel… mon récit

Aujourd’hui le Ftour Pluriel est devenu un rendez-vous phare du vivre-ensemble en...

Chroniques

Aux européennes, le triomphe annoncé de l’extrême droite !

En plus des raisons liées à la personnalité propre de Jordan Bardella,...

Chroniques

Écrire pour mieux souffrir

Pour écrire des livres profonds qui vont du cœur et s’adressent au...