Chroniques

Le mot pour rire : Road to Casablanca…

© D.R

Jeudi dernier, j’ai assisté à un débat sur un thème pour le moins insolite : « Comment vivre mieux et mieux vivre ensemble à Casablanca ».

La rencontre a été organisée par nos amis du Café Politis dans le merveilleux cadre de la Scala. Les interventions et les échanges étaient d’un bon niveau et semblaient sincères car émanant de gens qui aiment leur ville autant dans sa singularité que dans sa pluralité.

Comme c’est souvent le cas, la discussion a vite dérapé vers une aversion verbale envers les partis politiques et leurs élus. J’ai cru bon alors d’intervenir pour rappeler que quoi qu’on puisse dire ou penser, sans les partis, il n’y a pas de démocratie, et sans démocratie, i n’y aura de mieux vivre ni à Casablanca ni nulle part ailleurs.

Mais, au lieu de soutenir mes propos, une élue locale d’un parti pourtant de l’opposition s’en est prise très violemment aux organisateurs les accusant de tous les maux alors qu’ils n’ont fait qu’initier un débat. Si nos partis veulent vraiment changer les choses, ils doivent commencer d’abord par faire leur propre mue.

A demain

Articles similaires

Chroniques

L’extrême droite caracole en tête des sondages en France

L’extrême droite, incarnée par Jordan Bardella, semble avoir le vent en poupe....

Chroniques

Mieux communiquer, mieux vivre…C’est inspirant, d’être inspirant !

Pour réussir à inspirer les autres et pour réussir à être inspiré...

Chroniques

Le renseignement face à l’essor des criminels en col blanc

Dans ses formes les plus raffinées, la criminalité en col blanc se...

Chroniques

Le terrorisme international appartient-il au passé ?

La menace de la terreur n’a pas disparu de notre monde

EDITO

Couverture

Nos supplément spéciaux