Hier, mardi 16 octobre s’est ouvert un colloque sur le cinéma national à l’occasion de la Journée nationale du cinéma. Vous ne le saviez peut-être pas, mais à l’instar de la femme, l’enfant, les handicapés ou les toxicomanes, le cinéma a, aussi, sa journée nationale. Le colloque en question (je devrais dire «en questions», au pluriel, parce qu’elles sont nombreuses, mais, hélas, on ne les pose pas toujours) va durer 3 jours et devrait se pencher sur un secteur plein de promesses et d’espoirs mais aussi, plein de contradictions et de non-dit, des non-dits que j’aimerais bien dire, mais que je ne dirai pas car je ne suis pas autorisé à les dire. Blague à part, ce qu’ailleurs on appelle le 7ème art, on devrait l’appeler ici « la 4ème tranche ». Stop ! Je crois que j’en ai trop dit.
A demain