La semaine du court-métrage, initiée par l’institut supérieur d’ingénierie et des affaires (ISGA) Rabat, est de retour.
La 12ème édition de cet événement, qui se poursuit jusqu’au 23 mars, est marquée par la consécration du meilleur court-métrage et la mise à l’honneur de la femme. Cette manifestation, qui est en fait un festival, permet également de réunir les étudiants avec des professionnels du monde cinématographique. «La semaine du court-métrage est devenue une tradition annuelle organisée depuis 12 ans par les étudiants de l’ISGA. Nous sommes fiers de recevoir chaque année au sein de notre campus de Rabat des grands noms du cinéma marocain, découvrir leurs dernières œuvres et échanger sur des sujets qui intéressent le 7ème art au Maroc», indique Rachid Chakib, directeur de l’ISGA Rabat.
Cela étant, cet événement rend hommage aux femmes des cinéastes et acteurs marocains qui ont contribué de fond en comble à leurs réussites. Il s’agit entre autres de Salwa Regragui, épouse de l’acteur Hicham Ibrahimi, Zahra El Hagi, épouse de l’acteur Aziz Mouhoub, Safae Abouzakri, épouse du réalisateur Farid Regrargui, Aziza El Ouaziri, épouse de l’acteur Mohammed Choubi, et bien d’autres.
En détail, le programme de cette manifestation comprend une projection d’un court-métrage -hors compétition. De plus, 4 courts-métrages sont projetés par jour dans le cadre de la compétition. Et pour clôturer la semaine en beauté, l’ISGA organise une soirée de remise des prix pour célébrer les réalisateurs des œuvres gagnantes et rendre hommage aux invités d’honneur.
La soirée sera également l’occasion de présenter le court-métrage réalisé par les étudiants de l’ISGA assistés par leur enseignant de théâtre, Hicham El Ouali. Le tout dans une ambiance rythmée en présence de chanteurs et humoristes de renom. «L’ISGA confirme ainsi son positionnement d’école qui soutient la diversité et en favorisant les activités para-universitaires qui permettent aux étudiants de s’ouvrir sur de nouveaux univers et rencontrer des personnalités qui leur servent de modèle et d’inspiration», concluent les initiateurs.