Cinema

Festival dédié au documentaire: Casa/Docks est de retour

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Casa/Docks, le festival dédié aux films documentaires cinématographiques, est de retour. Créé en partenariat avec le studio créatif Lioumness, cet événement culturel hebdomadaire donne rendez-vous tous les lundis à 19h au cinéma ABC de Casablanca pour des projections et des débats avec les réalisateurs et des acteurs de la société civile.

Pour ce mois de janvier, Casa/Docks propose trois thématique cycliques: «Miroir du Maroc», «Reflets sur le monde» et «Nous sommes tous des réfugiés». Celles-ci seront illustrées par la projection de trois documentaires. Le lundi 9 janvier sera consacré à la projection du film «Shakespeare à Casablanca» de Sonia Terrab. Cette réalisatrice et écrivaine relate l’histoire d’une jeune troupe de théâtre qui prépare «Songe d’une nuit d’été» de Shakespeare et en profite pour se questionner et questionner toute la ville sur l’amour et son langage… Un portrait vivant, plein d’humour et d’espoir de Casa la mal-aimée, portée par une jeunesse inspirée.

Le lundi 16 janvier sera dédié à la projection du film «Human» de Yann Arthus Bertrand. En effet, Human est un diptyque de récits et d’images de notre monde offrant une immersion au plus profond de l’être humain. À travers les témoignages remplis d’amour, de bonheur, mais aussi de haine et de violence. «De la plus petite histoire du quotidien jusqu’aux récits de vie les plus incroyables, ces rencontres poignantes et d’une sincérité rare mettent en lumière ce que nous sommes, notre part la plus sombre mais aussi ce que nous avons de plus beau et de plus universel».

Enfin, le dernier lundi de ce mois sera réservé à la projection du film. «Ceuta, Douce Prison» de Jonathan Millet et Loïc H. Rechi. Ce film suit les trajectoires de cinq migrants dans le préside occupé de Sebta, au nord du Maroc. Ils ont tout quitté pour tenter leur chance en Europe et se retrouvent enfermés dans une prison à ciel ouvert, aux portes du Vieux Continent. Ils vivent partagés entre l’espoir d’obtenir un «laissez-passer» et la crainte d’être expulsés vers leur pays. Le film est tourné en proximité totale avec les personnages, sans voix-off, sans adresse caméra, en immersion dans leur quotidien.

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