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Quelques conseils pour réussir son entreprise

Force est de constater que l’entreprise marocaine est encore mal armée dans la guerre économique que se livrent les multinationales . Afin d’émerger dans les remous et les turbulences de la mondialisation, elle doit se mettre rapidement à niveau et répondre aux nouvelles exigences de la société, des sciences et des techniques. Information interactive et NTIC, motivation profonde et responsabilisation, formation à vie, gestion du savoir et des compétences, art de communiquer , management du temps, fortes cultures et hautes valeurs, transparence et dialogue social, intégration professionnelle des jeunes, prétendants à la création d’entreprise, délégation du pouvoir, prise de risque, bien-être et qualité de vie, recherche et innovation, sont autant de facteurs clès de succès dont il faut se doter, indubitablement. Pour la première fois au Maroc, un ouvrage décapant, voire dérangeant, de par sa consistance, de sa méthode multidimensionnelle et ses concepts innovants et pragmatiques, ose une plongée dans les profondeurs du monde du travail, des rapports sociaux et professionnels. Le but étant d’aiguiller patrons et collaborateurs vers l’entreprise citoyenne…vers l’entreprise gagnante … l’idée maîtresse de la « rage de gagner » s’articule autour de la création du bonheur et le partage des richesses dans l’entreprise

Au Brésil, à Rio de Janeiro , le dessinateur s’est immergé au coeur du Carnaval , lors de cette période magique où rivalisent les écoles de samba, un mot qui signifie littéralement «  faire plaisir, enchanter »  dans un dialecte africain. Mettons tout de suite en garde les fans de Mattotti,  « Carnaval » n’est pas une bande dessinée, mais un beau livre regroupant plusieurs petits textes à propos du carnaval de Rio, que les traits du dessinateur italien viennent illustrer. De fait, ce serait plutôt les textes qui illustrent les dessins de Mattotti. Plusieurs invités, chanteurs, directeurs d’écoles de samba, commentateurs et participants divers à cette extraordinaire fête annuelle, se chargent de décrire les origines, la signification ou le déroulement du spectacle, de manière lapidaire certes, mais avec un enthousiasme communicatif. Là-dessus arrive le génial Mattotti qui, par sa maîtrise de la couleur et du mouvement, était sans doute le dessinateur idéal pour réaliser cette mise en image d’un Rio festif. Prétexte rêvé pour mettre en pratique son art fluide et foisonnant, le carnaval, sous le crayon de l’Italien, prend vie. Danseuses scintillantes, chars majestueux, ribambelles de couleurs, Mattotti, en frôlant parfois l’expressionnisme qu’il aime tant, recrée un monde bariolé, lumineux, que ses fresques savent rendre éblouissant.

Le remariage d’Olivier relèverait presque du miracle ! Il a su trouver une compagne qui pardonne tous ses accès de violence et, surtout, il est parvenu à relever un défi : réunir tous ses frères et sœurs dans la maison familiale.  Mais un pique-assiette de moments d’insouciance s’est invité à la noce : le père , disparu en mer, et dont le fantôme semble errer de manière lugubre dans toutes les pièces.  Sans atteindre la force de La passion Savinsen , qui lui avait valu plusieurs distinctions littéraires, François Emmanuel a choisi aujourd’hui d’explorer encore le sujet intarissable des secrets de famille.  Au gré des monologues des divers personnages, le passé se retisse, laissant ressortir les frustrations, les blessures des uns et des autres, pour jeter des ponts vers le présent avec son lot d’incompréhensions mutuelles, de relations larvées, et, au final, de conflits.  Flash-back et instantanés, flous artistiques et zooms particulièrement bien amenés, se partagent la vie de ce roman construit comme une danse, comme une valse. Voilà un ouvrage indispensable à tous les amateurs d’orfèvres de la langue française.