Musique

«Diri Li Bghiti», nouveau single de Nasr Mégri

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Symbolique et très significative, cette nouvelle chanson incarne le dialogue artistique et culturel, entre l’Occident et le monde arabe, par sa poésie dans deux langues (arabe et anglais).

Après avoir lancé en début d’année «Mantach Wahdak Al Bal», le jeune musicien et interprète Nasr Mégri revient sur le devant de la scène musicale avec un nouveau single intitulé «Diri Li Bghiti» (Do What Ever You Want). A travers ce nouveau tube, Nasr Mégri propose à ses fans de découvrir sa récente expérience dans la «World Music Mégri». Symbolique et très significative, cette nouvelle chanson incarne le dialogue artistique et culturel, entre l’Occident et le monde arabe, par sa poésie dans deux langues (arabe et anglais) en réelle harmonie et symbiose avec la fusion de deux expressions musicales de haute gamme très appréciées à l’échelle planétaire.

Composée par Nasr Mégri lui-même et Oussama Gazoulit sur des paroles de Hassan Mégri, cette nouveauté ouvrira une nouvelle ère pour la chanson anglo-arabophone. Il faut rappeler que le chanteur a créé en mars 2012 son propre groupe, appelé le «Nasr Mégri Band» pour entreprendre une sensationnelle aventure pleine de défis, dont l’objectif initial est de pérenniser le style musical des Mégri auquel il appartient et de le transporter au-delà du Maghreb et du monde arabe. Nasr Mégri a depuis son jeune âge mené une vie qui le prédisposait à être un grand nom dans ce domaine.

En plus de son talent inné, Nasr a étudié le solfège et maîtrisé les secrets de jeu de la guitare et du piano au Conservatoire de Rabat. Puis, il se branche aussi sur le cinéma, en faisant des études cinématographiques. Ses diplômes en poche, il se consacre entièrement à la musique, sort son premier album «Fyoum Lefrah», suite auquel il commence à retenir l’attention des professionnels du domaine et du public.

Mais, il faut dire que sa consécration en 2012 au dernier concert de son père Hassan Mégri à Mawazine lui donne du tonus et de la responsabilité pour être à la hauteur des légendaires Hassan, Mahmoud, Jalila et Younès. Une tâche qu’il a prise avec sérieux et conscience, puisque son travail a commencé à donner ses fruits grâce au second album «Winek» (2014) qui a remporté beaucoup de succès lors de sa tournée effectuée dans plusieurs festivals du Maroc, notamment Mawazine, Timitar et le Festival des musiques sacrées.

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