Culture

Quatre questions à Rédouane Aït Cheraa

Aujourd’hui le Maroc : Racontes-nous un peu comment tu as commencé ?
En fait j’ai pas trop accroché avec les études. Quelques tentatives plutôt pas convaincantes à la faculté d’économie et à l’Ecole des Affaires et puis UN choix : celui de me lancer timidement au départ pour animer des soirées d’abord avec un ami et puis seul. J’ai commencé à la boîte de nuit Amnésia de Rabat. Ont suivi des soirées privées ici et là. Et ça s’est précisé avec d’autres endroits comme le Dawliz, le Club Equestre de Dar Essalam, le Yucatan, le Jumanji, le Kangourou Grill, le Harold’s. Aujourd’hui je suis exclusivement au Hilton, au Puzzle, au Pachanga et au Zénith.
Est-ce que tu fais les soirées privés ?
Oui, souvent j’organise des soirées ici et là : au Safari Club pour la soirée du Lion’s club. Il m’est aussi arrivé d’animer les soirées estudiantine en médecine, à l’EAD, au Collège Lassalle… Mais j’organise aussi des après-midi pour les enfants et les jeunes dans les lycées et les écoles : Descartes, Cézanne, Assabil…
Quel est le matériel que tu utilises dans le cadre de ton travail ?
Il faut entre autres un lecteur laser disc, le mien c’est un Pioneer, d’un laser disc format 33 tours, d’un microphone sana fil. Les gens timides préfèrent utiliser le sans fil pour rester chanter à leur place. Mais aussi un microphone avec fil, des luminaires, un projecteur…
Un projet ?
Oui en fait, je suis en train de préparer un concours de Karaoké mais c’est encore ne préparation.

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