Culture

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Marcel Rufo au Maroc
Autorité parentale ? Autorité de l’éducateur ? Crise de l’autorité dans la société moderne? Le célèbre pédopsychiatre français Marcel Rufo donnera une conférence exclusive, le 5 mai à 19 heures, à l’Agora de Casablanca en collaboration avec son homologue marocain, Dr Amine Benjelloun. Marcel Rufo est pédopsychiatre à l’hôpital Sainte-Marguerite de Marseille. Spécialiste des relations familiales, de l’enfance et de l’adolescence, il est aussi un excellent vulgarisateur, très souvent invité sur les plateaux de télévision. Il a publié de nombreux ouvrages qui ont connu le succès auprès d’un lectorat élargi : « Frères et sœurs, une maladie d’amour », « Œdipe toi-même ! », « Votre ado », « Tout ce que vous ne devriez jamais savoir sur la sexualité des enfants », « Elever bébé », « Nés avec la télé », etc… M. Rufo est également pédiatre, neuropsychiatre et maître de conférence agrégé de pédopsychiatrie. Marcel Rufo sera présent à Casablanca pour une conférence exclusive, à l’invitation de la PEEP, première association de parents d’élèves au sein des établissements français à Casablanca. La PEEP est adossée à la Fédération des Parents d’Elèves de l’Enseignement Public reconnue d’utilité publique et présente dans tout le système scolaire français. Libre de toute attache politique, elle défend les intérêts des parents et de leurs enfants au sein de toutes les instances de concertation du système d’enseignement français au Maroc. La PEEP défend une certaine idée de l’école qui non seulement apporte savoir et savoir faire mais aide aussi nos enfants à devenir des femmes et des hommes libres et responsables. Elle est aussi un moteur d’animation sociale à travers l’initiative du Grand Prix du jeune lecteur, levier de promotion de la lecture, et l’organisation de débats et conférences faisant intervenir de nombreux experts sur des sujets d’intérêt périscolaire.

De quelle autorité ont-ils besoin pour grandir ?
Marcel Rufo et Amine Benjelloun
Le 5 mai   Agora – Casablanca

Goupi Mains Rouges
Adaptation du roman de Pierre Véry, et remanié par l’écrivain pour son adaptation cinématographique, Goupi Mains Rouges est le second film de Jacques Becker. Les Goupi, au nombre de douze, habitent un coin de Charente. Par un jeu d’alliances, ils ont réussi à s’emparer de la quasi-totalité du village. Chaque membre du groupe doit sacrifier à la mission du clan, celle de l’argent, mais chacun d’eux représente un type particulier, défini par un surnom. Jusqu’au jour où l’un d’entre eux s’empare du magot que tous convoitent…  Histoire d’un retour au pays natal, Goupi Mains Rouges décrit le monde paysan sans concessions, en termes de cruauté, de rapacité, d’avarice, évoquant parfois Zola. 

Goupi Mains Rouges
Le 6 mai  Institut français de Rabat

Al Gousto
Le quartier Racine a vu naître il y a quelques jours un nouveau restaurant italien du nom d’Al Gousto. Installé au rez-de-chaussée d’un immeuble haut standing de la rue Bab Al Irfane, pas très loin de Geneviève Lethu, il respire l’Italie et le Maroc à la fois. Tout y est en bois et en pierres aux tons beiges et jaunes. Au mur, des bibelots en tout genre, au fond la cuisine et le four à bois dans lequel sont cuites les pizzas.  A Al Gousta, vous pouvez déguster tout genre de spécialités italiennes des pâtes fraîches faites maison aux viandes et poissons. Les plats sont copieux et les prix sont très raisonnables. Les pâtes, par exemple, coûtent entre 42 et 67 dh ; les desserts entre 24 et 39 dh.

Tél : 22 36 57 57
17, rue Bab El Irfane – Rabat

Le Riad des mers
En plein cœur de la Médina de Marrakech « Le Riad des mers » s’est imposé comme une nouvelle enseigne de la restauration 100% fruits de mer. La propriétaire, Nicole, a derrière elle une expérience de 15 ans dans le fameux restaurant en France « Bistrot de l’huître ».  Grâce à une navette quotidienne et des viviers d’eau de mer, le « Riad des mers » propose des huîtres, du poisson et des crustacés. A midi, des formules à 120 dh et le soir à 180 dh.

Tél : 044 37 53 04
411, Derb Sidi Messaoud, Médina  – Marrakech

Le Beyrout
Le Beyrout est l’un des restos libanais les plus connus à Casablanca. Réputé pour son ambiance conviviale, son accueil chaleureux et surtout pour ses délicieux plats orientaux servis dans le plus grand raffinement, le Beyrout offre chaque soir à ses clients des spectacles avec les meilleurs morceaux des grands piliers de la chanson libanaise (Wadii Safi, Sabah, Farid Al Atrach.…). En entrée, le Beyrouth vous propose une multitude de choix : Homos, Fatouch, Taboulé, Sanbousek, Mtabbal… Vous pouvez déguster par la suite les délicieuses brochettes de poulets marinés (Chichtaouq), la Kibba cuite de différentes manières, les Méchouis (poisson, viande), le Kabab ou encore le Ouze (Mouton garni).
 
7, rue Karatchi, Casablanca.
Tél : 022 30 87 98

Al’Anbar
Toux ceux qui ne connaissent pas l’endroit croient que c’est une casbah. Loin de là, Al’Anbar est un haut lieu de la nuit marrakchie situé à deux pas de la Place Jemaâ El Fna. Derrière une vieille porte cloutée adossée à un mur en pisé, un escalier vertigineux vous plonge dans un magnifique décor oriental (marbre au sol, lustre imposant surplombant la salle…) Sous les lumières tamisées dominées par le rouge ocre, vous trouverez un restaurant, un grand bar boisé et des salons VIP. Le chef cuisto, qui ne manque pas d’imagination, vous propose un dîner raffiné aux saveurs métissées, subtilement brassée. Sa carte consiste en un mélange harmonieux de l’Orient et de l’Occident.

47, rue Jbel Lakhdar – Marrakech
Tél : 022 044 38 07 63

B’nat Lalla Mennana
La première représentation de la pièce « B’nat Lalla Mennana » sera donnée les 29 et 30 avril au Théâtre national Mohamed V de Rabat. C’est la première pièce de Tacon (talon aiguille en espagnol), une toute nouvelle troupe de théâtre 100% féminine, de la costumière à l’auteur du texte. Il s’agit d’une adaptation d’un texte de Bernarda Alba, en l’occurrence « La Casa » (La Maison) de Federico Garcia Lorca. Dans « la Casa », L’auteur espagnol racontait l’histoire d’une mère tyrannique qui imposait la réclusion à ces 4 filles pour les protéger du grand méchant loup : le désir, le leur comme celui des hommes. La pièce de Lorca date de 1936 et dépeignait l’Espagne conservatrice de l’époque. Elle est toujours d’actualité dans le Maroc de 2005, tel qu’il est encore vécu dans certaines contrées du nord du Maroc. Adaptée et mise en scène par Samia Akariou, cette pièce met en jeu six comédiennes : Nora Skali, Saâdia Ladib, Saâdia Azkoun, Hind Saâdidi, Nadia Alamai et Samia Akariou. Le dialogue de cette pièce porte la signature de Nora Skalli, la scénographie et les costumes celle de Rafika Benmoumen, alors que la musique est de Younès Megri.

B’nat Lalla Mennana
Les 29 et 30 avril
Théâtre national Mohamed V de Rabat

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