Culture

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«Serko», 200 jours extraordinaires de la vie d’un cosaque

L’Institut français de Casablanca, présente le 19 janvier un film d’aventures pour les enfants. Un film  réalisé par Joël Farges raconte l’histoire de Dimitri, qui monte sur un petit cheval nommé Serko, pour quitter au début de l’hiver les bords du fleuve Amour situé aux confins orientaux de l’Empire russe. Après d’extraordinaires péripéties, tous deux arrivent à Saint-Pétersbourg, à la cour du Tsar. Ayant couvert plus de 9.000 kilomètres en moins de 200 jours, le jeune cavalier et son cheval ont réalisé ainsi le plus fantastique exploit équestre de tous les temps… Comment ont-ils pu survivre aux mille difficultés d’un tel voyage, résister au froid extrême de l’hiver sibérien, surmonter les milles obstacles dressés sur leur chemin ? Le film nous racontera l’histoire de ce jeune héros.

IF de  Casablanca le 19 janvier


Batracien, l’après-midi

L’Institut français de Marrakech abritera, le 24 janvier un spectacle de danse de Bernardo Montet, qui nous convie à «batracien l’après midi» , solo où il aborde un travail de transformation. «Batracien, l’après-midi», est une nouvelle création qui prolonge une recherche menée dans la pièce créée en 2006 : «les batraciens s’en vont».
L’artiste va à l’épure. Se dépouillant de tout, il parcourt à nouveau, seul, le chemin qui se glisse jusqu’aux régions instables de notre état d’Homme. «Le batracien, premier vertébré sorti de l’eau, témoin de notre origine, de notre mémoire, convoque notre verticalité dans sa porosité au monde». Bernardo Montet interroge notre humanité en allant explorer ses limites, la cherchant où elle s’enfouie, au point de fragilité. Les dualités de l’Etre sont à chercher à l’intérieur de lui-même. Nulle échappée, aucun soutien d’une part ou d’autre. De ce conflit surgit une danse de l’essentiel, irradiante.

IF de Marrakech,le 24 janvier

Ali Tizilkad sur sa colline de papier

Le journaliste et traducteur Ali Tizilkad  présentera à l’Institut français de Fès son récit romanesque «La Colline de papier». Le récit est un mélange d’autobiographie et de fiction sur fond de vie semi-nomade dans la région des Hauts Plateaux du Maroc oriental et de la «Cuvette noire» du bassin minier de Jérada. Dans son livre, le journaliste fait part de la relation aux territoires dans l’écriture de «La colline de papier». Cette écriture renvoie à la disparition d’un certain vécu semi-nomade, et à une certaine relation aux éléments, à la nature, aux animaux et aux choses de la vie. Le lecteur est pris à témoin pour déduire, à travers les récits et les faits qui ont nourri l’enfance du narrateur tels qu’ils tissent la trame du livre, ce qui constitue"la mythologie personnelle" du conteur, à partir de laquelle il investit l’univers de la littérature, qui est par essence une fiction.

IF de  Fès  le 18 janvier

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