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Le Maroc en fête

Le Maroc en fête est une exposition-photos de l’artiste libanais Michel Nachef qui expose ses œuvres à Rabat. Le vernissage de cette exposition a été marqué par la présence d’un parterre d’artistes et de personnalités du monde de l’art et de la culture. Organisée avec le soutien de l’Institut français de Rabat, de MEDZ CDG développement et Veolia environnement Maroc, cette exposition comprend près de 100 photographies en noir et blanc de format moyen illustrant des aspects importants de l’histoire du Maroc. Le visiteur de cette exposition pourrait admirer des photos inédites sur l’ambiance de fêtes typiques des moussems organisés à Tan-Tan (1997), Imlchill (1980) et Moulay Bouselham (1989) qui relate la richesse du patrimoine culturel marocain.

Jusqu’au 30 mars à l’Institut français de Rabat



Hommage à la quinzaine  des réalisateurs


L’ambassade de France au Maroc, la Cinémathèque de Tanger, l’Institut français de Rabat et les Instituts français du Maroc organisent conjointement un hommage «à la quinzaine des réalisateurs». La quinzaine des réalisateurs du Festival de Cannes est née dans la foulée de mai 68, à l’initiative d’un groupe de cinéastes en colère qui avaient décidé de se regrouper pour lutter contre l’académisme de la sélection du festival. Depuis 40 ans, la quinzaine des réalisateurs constitue une vitrine de tous les cinémas du monde sans compétition ni censure et reste étrangère à toute considération diplomatique. En prenant en compte pour seul critère de ses sélections, l’expression d’un talent singulier et d’une écriture cinématographique originale, elle assure l’émergence des cinémas indépendants ou marginaux, comme des films populaires.

Du14 au 18 mars au Théâtre 121 à Casablanca


«Le diable probablement»

«Le diable probablement» est un film français réalisé par Robert Bresson avec Henri de Maublanc, Antoine Monnier, Laetitia Carcano. Les interrogations sur le sens du monde d’un groupuscule anarchiste et surtout celles de Charles, jeune homme acceptant difficilement le gaspillage de la vie et qui opte pour le suicide.

Vendredi 13 mars à 18h30 au Cinéma Rialto à Agadir


Les origènes de Meknès

Le Français Claude-Charles Mollard organise trois expositions de ses photographies «Les origènes de Meknès». Cette exposition est organisée en partenariat avec par  l’Institut français de Meknès. Cet artiste a choisi près de 250 origènes parmi des milliers qu’il a photographiés à Meknès. Dans sa quête de la singularité de la ville de Meknès, il a souligné avoir trouvé les origènes de Volubilis, dont l’antiquité faisait trait d’union avec ceux de la Méditerranée. Proche collaborateur de l’ancien ministre français de la Culture Jack Lang, il a lancé la nouvelle politique des arts plastiques (Centre d’art, Fonds régionaux d’art contemporain). Depuis cinq ans, il mène une carrière de photographe, en donnant à voir les esprits de la nature qu’il désigne sous le nom d’ «origènes». Il avait déjà exposé en Allemagne, en France, en Italie, en Belgique, en Grèce et à Marrakech.

Du 25 mars au 30 avril à Bab Bouameir et à la Galerie Bab Mansour à Meknès


Rencontre avec El Mostafa Bouigane

L’Institut français de Tétouan organise une rencontre avec l’écrivain El Mostafa Bouigane autour de son roman : «La porte de la chance», Bab ezzhar édition Marsam 2006. Les petits personnages miséreux du premier roman de Bouigane évoluent dans une ville bien différente de celle d’Ahmed Séfrioui ou d’Abdellatif Lâabi. Le quartier de Bab ezzarhar est le fief de ces «gamins terribles et pathétiques de Fès», frères «des enfants de trottoirs de Rio, de Manille, des petits sciuscia de Rome et autres Aoulad Chawarii». Parler de ce Fès-là n’est sûrement pas aisé et sûrement iconoclaste. El Mostafa Bouigane s’y est attelé avec un courage certain en contant les mésaventures de dosti le boiteux, grosse-tête, petit-vieux…

Jeudi 15 janvier 18h30 à l’Institut français de Tétouan



Histoire d’amour en 12 chansons

«Histoire d’amour en 12 chansons» est une pièce de théâtre de Faouzi Bensaïdi. Histoire d’amour en 12 chansons est l’histoire de 5 filles et de 5 garçons. Ils racontent l’amour aujourd’hui au Maroc et dresse le portrait du monde dans lequel nous vivons. À chaque étape, un couple se fait et se défait. L’intime et l’historique se rejoignent pour raconter le monde. Il s’agit d’un spectacle vivant en douze mouvements, rythmé par des chansons dans une forme moderne en vignettes, mêlant chorégraphie, chant, empruntant un chemin inventif, léger, burlesque, poétique pour raconter avec les corps et les voix en peu de mots, les maux d’aujourd’hui (la loi du plus fort, la servitude des femmes, l’égarement de la jeunesse, la perte d’autorité des hommes, la chute des mythes, la difficulté de communiquer, la tendance à la consommation…).

Jeudi 19 mars à 19h30
à la maison de culture de Tétouan

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