cette 3ème édition répond à l’idée de centrer et développer les contenus du Festival autour du concept «création», avec toute la puissance et portée qu’entraîne le terme. Le choix du lieu et de la date vient en réponse à la position de la ville de Tanger comme plate-forme de l’avant-garde créative au Maroc, ainsi que de l’occasion de la dénomination «2009 : Année de la créativité» par la Communauté européenne. Tout cela promeut la vision de l’ouverture d’autres pays sur le Maroc, dans sa qualité de Partenaire préférentiel de l’UE..
Du 4 au 7 décembre à l’Institut Cervantès et au cinéma Rif de Tanger
Pour clôturer le cycle d’ateliers de peinture créative pour enfants organisé par l’Institut Cervantes de Fès, un atelier a été programmé en hommage à Chaïbia Talal, une des artistes les plus renommés du monde artistique marocain et qui, selon des experts du monde des beaux-arts est une figure emblématique de la scène artistique marocaine. Le peintre marocain Mohamed Filali Fakir tentera de sensibiliser les enfants participant à l’atelier aux œuvres de cette grande figure artistique marocaine.
Mercredi 9 décembre à 15h00 à l’Institut Cervantes de Fès
Ahmed Bennani A est un peintre fassi, jeune d’âge et d’expérience picturale, il sait pourtant se frayer un passage entre les tendances d’art, les modes et les conceptions qui courent la vision plastique, les pratiques esthétiques, le discours critique. Motivé, dynamique, modeste, passionné, toujours à la recherche d’une réponse à sa quête insatiable, Ahmed Bennani ne cesse d’expérimenter, mettant à l’épreuve couleurs, techniques, dimensions, gestes, styles et matériaux. Comme si l’art pour lui est une perpétuelle expérience d’esprit et de cœur, de raison et d’émotion, de différentes sensibilités plastiques, il est capable d’orienter sa propre vision des êtres et des choses. Dans l’atelier du peintre figuratif Ghiati, Ahmed Bennani s’est familiarisé, d’abord, avec l’univers de la peinture figurative pendant trois ans.
Jusqu’au 16 décembre à l’atelier galerie Ahmed Bennani à Fès
«Mounia Dadi» considérée comme le porte-bonheur de la Remp’Art Galerie, dont chaque œuvre est une invitation à l’introspection de nous-même, une fenêtre sur l’âme humaine ou le génie se mêle à des émotions aux dimensions humaines, de l’amour à la solitude, de l’espoir, du spleen à l’idéal, des toiles à l’image des hommes nous racontant l’histoire de l’humanité. Ses œuvres nous mettent devant une évidence indubitable : Notre vie est un livre qui s’écrit tout seul. Nous sommes des personnages de roman qui ne comprennent pas toujours bien ce que veut l’auteur.
«Khalid Nadif» ou la sensualité de ses œuvres pourrait le comparer à un Yves Saint Laurent de la Haute couture. Ses œuvres sont tout simplement sexy! Khalid Nadif s’inspire de la féminité, fait l’éloge de la femme en sa beauté, de son être si complexe et tellement mystérieux! La beauté de ses toiles est à couper le souffle, et sa touche artistique unique est la réponse ou la question éternelle sur la condition féminine en son âme, son esprit, ses espoirs et son grand mystère.