«Les Parcs de l’Agdal» est un projet immobilier dont les concepteurs ne veulent pas comme les autres. Alliant charme rustique des ruelles de la cité ocre aux fastes des riads et palaces de la capitale des Almoravides, les demeures y sont conçues en symbiose avec la nature.
Quatre hommes se trouvent derrière ce projet immobilier. Simon-Xavier Guerrand-Hermès, Jean Pozzo Di Borgo, Karim El Achak et Jean-Charles Mazet. Architecte, paysagiste et gestionnaires se sont réunis pour «rechercher l’harmonie entre l’homme et la nature». «Dans Les Parcs de l’Agdal, ce n’est pas le lieu bâti qui dicte sa loi au paysage et qui lui impose un axe central et des axes secondaire-guidant les regards vers les points importants. Mais c’est plutôt le paysage qui s’affranchit du bâti en lui demandant de le considérer comme son être propre», explique Jean-Charles Mazet.
L’architecte marocain, Karim El Achak, abonde dans le même sens. «L’esprit du projet voulu dès le départ par Simon-Xavier Guerrand-Hermès est de créer un cadre de vie où l’architecture marocaine ressourcée serait intimement liée à la nature et au paysage, d’habiter l’architecture, de vivre en relation avec la lumière éclatante, tentative d’apprivoiser l’espace et d’inspirer le bien-être. C’est une approche nouvelle où nous avons cherché la philosophie d’abord avant le projet».
L’esthétisme du projet est certes innovent mais ce dernier se distingue également par son montage financier, effectué avec le Crédit du Maroc, banque partenaire du projet. «Uniquement par une hypothèque sur le bien immobilier au Maroc acheté dans Les Parcs de l’Agdal, un résident marocain peut bénéficier d’un prêt jusqu’à 90% et 70% pour un non-résident.
D’autre part, nous offrons à nos clients, en contrepartie des paiements effectués, une caution bancaire de garantie des versements effectués», explique Jean Pozzo Di Borgo, directeur général des «Parcs de l’Agdal». Commercialisé en état futur d’achèvement, ce complexe immobilier connaît un grand succès. «Plus de 25% de nos ventes sont déjà réalisées avec six mois d’avance sur notre planning prévisionnel», souligne M. Di Borgo. Et de préciser que depuis le 1er mai 2005, la commercialisation de ce projet est co-gérée par la société CB Richard Ellis Bourdais Résidentiel, filiale française du leader mondial du conseil en immobilier d’entreprise, à savoir le groupe société CB Richard Ellis. Résultats de toutes ces facilités, une clientèle cosmopolite, à l’image des amoureux de la cité de Marrakech. «Les profils sont très diversifiés.
Aujourd’hui, Marrakech s’ouvre à une plus grande mixité. C’est un vrai brassage ethnique et c’est ce qui fait la richesse de la ville. Gens fortunés, cadres supérieurs ou simplement des gens qui ont réussi dans leurs affaires, mus par la même passion pour Marrakech», souligne le directeur général des «Parcs de l’Agdal».
Par ailleurs, ces derniers sont de plus en plus prisés par une clientèle européenne qui a fait le choix de prendre sa retraite au Maroc. Des Français, des Anglais, des Suisses, des Belges, des Italiens pour ne citer que ceux-ci sont attirés par les avantages fiscaux que leur offre le Royaume : 40% sur les retraites et une diminution de 80% de l’impôt exigible au titre de la pension de retraite si celle-ci est domiciliée au Maroc et transférée sur un compte en dirhams.