Karim Chraibi n’est pas né de la dernière pluie. Avant de monter sa propre affaire, TCR en l’occurrence, il a fait un parcours riche et enrichissant au sein de plusieurs structures. Ayant un Bachelor’s of Science, Control Systems de l’université de Houston et un diplôme en Associate of Science, Computer Maintenance et Electronics Technology de Northern Michigan University, il a choisi d’apprendre l’alphabet du monde de travail dans des structures basées aux Etats-Unis.
A Siemens Energy et Automation à Houston, aux Etats-Unis, il a travaillé sur des projets de développement de systèmes liés à Internet et aux télécoms. Juste avant, il a assuré pendant la période 1993-1996 la fonction d’ingénieur projets chez Praxis Instruments. De retour au Maroc, il a intégré l’équipe de CMS Energy où il a assuré la fonction de directeur de développement pendant deux ans à Jorf Lasfar avant qu’il ne soit affecté à Casablanca en tant que directeur pays au sein de la même compagnie.
En avril 2001, elle voulait développer son activité en Arabie Saoudite. M. Chraibi fut chargé du développement au sein des activités de ce groupe dans ce pays. Pendant les quelques mois qu’il y a passé, il a pu prendre conscience du besoin imminent dans cette région en matière de suivi et contrôle des véhicules moyennant des outils à la fois modernes et pratiques.
L’idée de créer TRC le hantait à cette époque. De retour au pays, il passe dès la vitesse supérieure et met en place TRC. «il m’était très difficile de quitter un emploi où je bénéficiais de beaucoup d’avantages pour monter une affaire où le risque zéro n’existe pas », se rappelle-t-il.