Quelques mots sur l’architecture, même si elle concourt d’une impression suggestive et personnelle, celle du nouvel Amphitrite Palace me laisse, comment dire … sur ma faim dans la série «béton armé»… Je reste évidemment un inconditionnel de cette piscine à débordement au bord de laquelle pour peu que l’on se place le museau face à la mer… Le panorama demeure incontournable, exceptionnel !
C’est autant de gagné… Car pour peu que l’on se tourne vers l’ hôtel, l’impression est toute autre, disons que je ne suis pas un fan… vous l’aurez compris !
Côté restauration : le dîner que je m’étais offert en début de saison d’été dans cette grande salle haute ne me laissera pas un souvenir impérissable, malgré une table bien mise et de qualité pour ne pas dire luxueuse.
Une prise de commande approximative par un personnel saisonnier qui arrivait visiblement sur site, un sommelier inexistant pour une carte des vins sans intérêt (nous sommes tout de même dans un palace). La cuisine toujours dirigée par le chef «Bouchaïb» formé du temps de l’ancien Amphitrite et sous la houlette de «Mao».
Pour démarrer une entrée copieuse dans la série «salade niçoise» et somme toute d’un bon rapport qualité/prix mais qui ne correspond absolument pas dans sa conception et sa présentation à un établissement classé de ce niveau, une viande grillée servie à la cuisson demandée, flanquée d’une garniture indigente pour tout dire «décevante».
Alors «bof»… on reste sur sa faim…
Comptez 3/400 DH par personne.
• Pandore