Lequel devient plus effrayant à l’approche des élections. Au lieu que chaque formation politique amorce le débat sur sa vision pour la régionalisation et ses propositions pour moderniser les collectivités locales, «l’élite» de ces partis occupe les tribunes pour lancer des insultes et donner un spectacle de très mauvais goût.
Nous rêvons d’une élite politique capable aujourd’hui de relever les défis sur les plans économique, social et culturel. Une élite qui soit capable de réhausser un peu le débat, constituer une force de proposition et réconcilier les foules avec les hommes politiques et les urnes.
Serait-ce trop demander à nos partis que de faire juste leur boulot ? De se mettre tout simplement au travail ?