Les conclusions sont d’ailleurs très enrichissantes. Mais la publication de ces rapports suscite des interrogations parce que les documents arrivent à un moment où le rapport du Conseil de l’éducation, de la formation et de la recherche scientifique présidé par le conseiller de SM le Roi Omar Azziman est également attendu.
Au-delà des constats et conclusions qui risquent d’être les mêmes pour le ministère et le Conseil, nous avons aujourd’hui besoin de savoir qui fait quoi dans l’élaboration du futur de l’école pour les prochaines générations des enfants marocains. Omar Azziman et Rachid Belmokhtar ont tous les deux les compétences requises pour le faire, il suffit de voir leurs parcours. Mais les choses méritent d’être tirées au clair entre les prérogatives des uns et la marge de manœuvre des autres.