Un rapport qui a été adopté à l’unanimité lors de sa 44ème session ordinaire du CESE jeudi dernier. Le Conseil, présidé par l’ancien argentier du Royaume, a pointé du doigt l’effet de la spéculation. En gros le rapport réalisé indique que les dérogations concernent des espaces destinés à l’urbanisme mais ça on connaît.
Le rapport devient intéressant lorsqu’il prend le courage (il en faut quand on veut parler de ce secteur !) de dire que lesdites dérogations ne sont pas appliquées sur le terrain à cause des spéculations dans ce secteur (rien que ça !).
Les responsables ne disent pas cependant qui profite des dérogations, de la spéculation et de son spéculos (ndlr : un biscuit traditionnel très sucré). Car au final, spéculation ou spéculos, c’est la même chose.
Les deux permettent à ceux qui en profitent de se sucrer bien comme il faut. En attendant le renforcement du contrôle préconisé par le CESE dans son rapport, pour contrôler les effets de ces dérogations, spéculation et spéculos ont de beaux jours devant eux…