L’Institut supérieur des experts internationaux a ouvert ses portes il y a quelques jours. L’opérateur piloté par Edouard El Mansoury vient accompagner l’ouverture du Maroc qui se matérialise en partie à travers l’offshoring.
La formation pédagogique de 560 heures permet aux candidats d’accéder en termes de connaissances à plusieurs domaines d’intervention, notamment la maîtrise de l’environnement.
Il est clair que devenir expert international devra passer par une parfaite connaissance des principaux traités internationaux et des droits de l’Homme.
La géopolitique, la géostratégie, la mondialisation, les relations internationales, et la coopération internationale sont autant de champs d’action qui devront être maîtrisés par le candidat de telle sorte à ce qu’il puisse approfondir ses connaissances et orienter son analyse.
Une fois les deux volets étudiés sous toutes leurs facettes respectives, la démarche pour rechercher des missions représente une partie importante du programme pédagogique. Généralement, les experts internationaux sont sollicités pour des missions commandées par des organismes tels que l’USAID, l’EUROPAID et la Banque mondiale. Répondre aux appels d’offres internationaux en représente l’enjeu et l’exercice fait partie intégrante du programme pédagogique de l’Institut.
La préparation de la mission comprenant l’organisation personnelle et la préparation au départ ainsi que l’exécution rappellent les étapes les plus importantes dans la vie professionnelle d’un expert international.
Bref, les domaines d’investigation étant très larges, les futurs experts internationaux devront avoir un backround performant pour réussir les missions qu’ils auront à mener dans la réalité.