Citant des sources proches de Belhaj, le journal précise que l’ex-numéro deux du FIS, qui brandissait des pancartes condamnant l’agression israélienne, a été arrêté quelques minutes après s’être positionné face à la porte principale de l’ambassade américaine.
Belhaj avait été condamné à une peine de 12 ans d’emprisonnement en rapport avec les événements sanglants au début de 1992 en Algérie. Après avoir purgé pleinement sa peine, Belhaj qui a été interdit de s’exprimer dans la presse, a été a nouveau arrêté en juillet 2005 pour apologie de crimes, pour des déclarations à "Al Jazira" après l’enlèvement de deux diplomates algériens à Bagdad.