Couverture

Les stars de l’audiovisuel : Adil Belhajjam, l’artiste bon chic, bon genre

© D.R

Natif de Marrakech, il a commencé sa formation musicale à l’âge de 6 ans. Il a fait de la musique son choix de prédilection. Une fois le Bac en poche, il choisit de forger ses connaissances artistiques et devint professeur d’éducation musicale. En parralèle, il faisait partie d’un des chœurs en France avant de former sa propore troupe à Mohammedia. Petit à petit, le nom de Adil Belhajjam a commencé à envahir la scène médiatique. L’émission de jeunesse «Sibaq raqmi» lui a permis de consolider son image en tant que jeune animateur,bon chic bon genre auprès du public. Aspirant à la célébrité, Adil Belhajjam saisit toutes les occasions artistiques. Acteur, chanteur ou animateur il emprunte toutes les pistes pour gagner le cœur de ses admiratrices.


Nabil Ayouch, un bel homme avec la sensibilité artistique en plus
La quarantaine, grand , tout vêtu de noir, bien entretenu, et souriant, physiquement Nabil Ayouch a tout d’un bel homme avec le talent et la sensibilité artistique en plus. Né le 1er avril 1969 à Paris. Après des cours de théâtre à Paris (1987-1990), il effectue ses débuts comme auteur-metteur en scène, puis se lance dans la publicité avant de s’orienter vers la réalisation. En 1992, il réalise «Les pierres bleues du désert», un premier court métrage avec Jamel Debbouze. Puis, il tourne deux autres courts métrages, «Hertzienne Connexion» (1993) et «Vendeur de silence» (1994) pour lesquels il reçoit de nombreux prix internationaux très prometteurs. Nabil Ayouch crée sa propre maison de production à Casablanca (Ali N’Productions). En 1997, il met en scène Mektoub, un premier long métrage en forme de «road-movie». Le film fait exploser le box-office marocain avec plus de 350.000 spectateurs et remporte un succès d’estime en France. Il signe ensuite «Ali Zaoua», suivi de «Whatever Lola Wants». Il crée en 2005 «Film Industry Made in Morocco» et produit trente longs métrages.


Khalid Nizar, le beau parleur au charme marocain
Khalid Nizar, le champion de la parole. Animateur hors pair, il est un des grands symboles de la séduction sur les ondes. Jeux de mots, flux de parole et éloquence sont ses armes. Grand, charmeur et beau parleur, de quoi séduire et attirer plus d’une. Le séducteur des ondes radio marocaines est un homme ambitieux, déterminé et expérimenté. Les auditeurs de ses émissions sont généralement des fidèles qui font exploser son audience. L’antenne, ça le connaît, et quand il ne la prend pas, il va directement rencontrer ses fans sur les plages en été, ou les accompagner dans les plus grands événements du Royaume. Marocain jusqu’à la mort, comme il se définit lui-même, journaliste, animateur radio et télévision, il crée le buzz par toutes ses parutions. Son succès, il le doit principalement à son humour qui rajoute beaucoup à son charme naturel. Au regard malicieux et pétillant d’intelligence, Khalid Nizar n’est plus à présenter. Il fait partie de cette élite qui a su briller parmi les étoiles et se faire un nom parmi les stars incontournables de la scène people du Royaume.


Younes Boumehdi, beau, jeune et cool
Beau, jeune et riche Younes Boumehdi a tout pour plaire. C’est l’un des patrons les plus cools du Maroc. L’argument de son look jean, baskets, tee-shirt pour prouver cela. Le jeune patron de Hit Radio se distingue aussi par sa spontanéité, sa disponibilité et son sourire à faire craquer plus d’une. C’est un homme à la fois simple et très ambitieux. A travers les programmes hors du commun de sa radio, une nouvelle forme de communication entre Marocains qui donne la place aux jeunes. Younes Boumehdi est né à Rabat en 1970 dans une famille dont le père est médecin militaire. Il eut un Bac «économie», au lycée Descartes avant de s’envoler pour la France où il obtient un diplôme en 1992. Dès son retour au Maroc, en 1993, il dépose une première demande de création d’une radio privée. Entre-temps, il crée deux entreprises au Maroc et en France sans perdre de vue son rêve.  Hit Radio sera créée le 1er juillet 2006. Elle émet sur 33 fréquences sur les douze bassins nationaux.


Majed Chajii, une icône des émissions sportives
Avec un visage avenant d’une couleur brune séduisante purement sahraouie et une voix assez forte, l’ancien animateur à la deuxième chaîne marocaine 2M a pu faire une place parmi les grands journalistes et animateurs sportifs du monde arabe. En effet, Majed Chajii est devenu parmi les plus importants animateurs de la chaîne qatarie Al Jazeera Sport. Par sa curiosité et son professionnalisme, M. Chajii est devenu une icône des émissions sportives. Chajii, celui que bien des Marocains appellent le «poète du sport» est en phase de créer à lui seul un nouveau glossaire sportif. Il s’agit bien évidemment d’un journaliste très actif et un commentateur sportif créatif à la chaîne Al Jazeera Sport. Ses commentaires créatifs, ses tournures de phrases ont révolutionné le reportage sportif ordinaire. Né à Tan Tan en 1970, il  va chez son grand-père à Guelmim pour intégrer le collège après des études primaires à sa ville natale. En 1984, toute la famille déménage à Laâyoune, où il décrocha son baccalauréat option Lettres modernes en 1990. Sa grande implication dans l’organisation et l’animation d’activités culturelles au lycée éveilleront l’attention d’un responsable à la radio régionale de Laâyoune. Marié depuis 2002, M. Chajii est père de deux enfants, Chahd, 6 ans et Mohamed Riyad, 4 ans. Majid Chajii a réussi à faire sentir au téléspectateur qu’il est au cœur de l’action.

Articles similaires

ActualitéCouvertureUne

Industrie du futur, c’est maintenant ou jamais pour le Maroc !

Le développement fulgurant des nouvelles technologies révolutionne l’industrie. Alors que des puissances...

CouvertureSociétéUne

Population, santé, conditions d’habitation… Le HCP livre son bilan sur les indicateurs sociaux

Le HCP signale une baisse continue du taux d’accroissement global et naturel...

CouvertureEconomieUne

Le Maroc se lance dans la production d’avions-cargos

Des géants américains de l’aéronautique annoncent un accord pour l’installation d’une zone...

CouverturePolitiqueUne

Le Code de déontologie parlementaire bientôt adopté

Les deux Chambres ont ouvert vendredi dernier la session du printemps

EDITO

Couverture

Nos supplément spéciaux