Couverture

Parti de la justice et du développement

Abdelaziz Rebbah, la raison avant tout
Abdelaziz Rebbah, né en 1962 à Sidi Kacem, est l’un des membres influents au sein de la formation islamiste. Les membres du parti de la Lampe ne doutent pas de la capacité de ce jeune spécialiste des technologies de l’information d’assurer la relève au sein du parti et d’assumer des responsabilités politiques dans l’avenir. Député PJD, membre du secrétariat général du parti et maire de la ville de Kénitra depuis les élections communales de juin 2009, M. Rebbah est un scientifique de formation. Il a fait des études supérieures à l’Institut national de statistique et d’économie appliquée (INSEA), puis il a obtenu un Master en Génie logiciel en informatique à l’Université Laval au Canada en 1991. Il est expert auprès d’organisations arabes et internationales. Il avait travaillé au cabinet de l’ancien Premier ministre Driss Jettou.

El Moussali, une féministe au PJD
Jamila El Moussali est députée à Salé depuis 2002. Elle est entrée dans l’action politique à la fin des années 1990 pour arriver en peu de temps au secrétariat général. Elle est également présidente du groupe d’amitié parlementaire maroco-vénézuélien à la Chambre des représentants et dirige le centre Al Wiam, qui travaille à améliorer la condition des femmes. Mme El Mossalli est une universitaire spécialiste de la question de la femme. Elle a toujours appelé à rendre justice à la femme arabe et à instaurer une justice sociale consacrant une présence conséquente des femmes dans tous les domaines. «Je me réjouis qu’on donne à la femme les moyens d’accéder à de vrais postes de gouvernance», a t-elle déclaré lors de sa campagne pour décrocher le poste de maire de Salé.

Bassima Hakkaoui, l’icône
Bassima Hakkaoui est incontestablement une icône du PJD. Depuis le congrès exceptionnel du Mouvement populaire constitutionnel et démocratique (MPCD) tenu en 1996, Bassima Hakkaoui a décidé de tout troquer pour se dévouer à sa nouvelle fonction politique. Titulaire d’un DESS de psychologie sociale, Bassima Hakkaoui accomplit actuellement son troisième mandat de députée au sein du conseil national du parti. Cette ascension politique a bel et bien des enjeux. Dans ce sens, Mme Hakkaoui a décidé d’affronter les défis pour s’affirmer davantage dans la sphère politique. Objectif atteint. Mme Hakkaoui affirme que malgré les difficultés, elle savoure sa réussite dans le domaine politique qui coincide avec une série de changement positif que connais le Maroc.

Mohamed Najib Boulif, l’atout financier  du PJD
A l’âge de 47 ans, Mohamed Najib Boulif, député PJD de la ville de Tanger, a réussi à creuser son sillon dans l’action politique sous les couleurs de la formation islamiste. Membre du conseil national du PJD et secrétaire régional de ce parti à Tanger, il est réputé pour ses compétences en matière d’économie. Docteur d’Etat en sciences économiques de Université Sidi Mohamed Ben Abdallah de Fès, Docteur de l’Université Paris II et de l’Ecole nationale supérieure du pétrole et des moteurs, M. Boulif est une référence incontournable pour ce qui est des questions d’ordre économique au sein du parti dirigé par Benkirane. A travers sa participation croissante aux débats politiques et économiques, il se fait de plus en plus remarquer et accroît son influence au sein des instances dirigeantes du PJD.

Articles similaires

CouvertureSociétéUne

Le Maroc «soigne» les déserts médicaux par la Télémédecine

Le Souverain lance la 2ème phase du programme des Unités médicales mobiles...

CouvertureEconomieUne

Un grand port industriel en projet à Tan Tan

La région de Guelmim-Oued Noun confirme ses ambitions de nouveau hub international...

CouvertureEconomieUne

Industrie : Le Maroc veut sécuriser ses exportations vers les USA

En partenaires de longue date, le Maroc et les Etats-Unis tiennent à...

CouvertureUne

Quand l’eau part «en fumée» dans les barrages

Après la sécheresse, c’est au tour de la hausse des températures de...