Dans le dossier du Sahara, il est nécessaire de rappeler l’absence des moyens mis à la disposition du Maroc, dans ce domaine, comparativement à ceux mis à la disposition des séparatistes, par les autorités algériennes et des organismes occidentaux .
Pourtant, lors de sa rencontre avec la presse nationale, le Premier ministre Abderrahman Youssoufi s’est montré confiant en l’avenir du Maroc et optimiste quant à l’évolution de la question du Sahara marocain. Le Conseil de sécurité, dit-il, en substance, est en faveur de la thèse du règlement politique.
Et de préciser, à cet effet, qu’en dépit de leur silence, les autorités marocaines suivent de près les manoeuvres des séparatistes; et ce, alors que même les Algériens semblent ne plus assumer leur thèse portant sur la partition du Sahara.
En revanche, l’approche du règlement politique devient de plus en plus importante au sein de la Communauté internationale, particulièrement suite à la mobilisation du peuple marocain. Et de conclure que « l’autonomie dans la souveraineté, telle qu’elle est conçue dans le cadre de la régionalisation au Maroc constitue la solution juste et équitable à ce problème».