«La publication de documents volés est irresponsable et nous n’avons jamais donné la permission de partager ses documents», s’indigne-t-il dans une nouvelle contribution sur le blog officiel de Twitter. «Nous continuons à réfléchir sur les moyens de répondre aux dommages causés par ces actions.» Néanmoins, à ce stade, Biz Stone n’évoque pas de poursuites judiciaires à l’encontre du pirate à l’origine du scandale voire à l’encontre de TechCrunch. Le Net-entrepreneur américain réitère les propos qu’il avait déjà tenus dans une précédente contribution blog : la diffusion de ses information met en péril les relations entretenues avec ses partenaires et pourrait être mal interprétée.