Cette affaire émane de l’Information Warfare Monitor, un groupe de chercheurs liés au cercle de réflexion SecDev Group basé à Ottawa et le Munk Centre for International Studies rattaché à l’Université de Toronto.
Bien que l’attaque soit supervisée par des ordinateurs hébergés en Chine, les chercheurs n’ont pas été en mesure de prouver qu’il existe un lien avec les agences gouvernementales chinoises. Selon la presse, l’équipe scientifique a fourni les éléments recueillis aux agences d’investigation, dont le FBI aux Etats-Unis.