A son lancement, la chaîne avait donné la parole à un opposant chiite bahreïni, Khalil al-Marzouq, dès son premier journal d'informations, provoquant la colère dans le royaume. Il avait critiqué la décision du Bahrein de déchoir de leur nationalité 72 personnes.
"Il a été décidé d'arrêter les activités d'Alarab, cette chaîne n'ayant pas obtenu les autorisations nécessaires", a justifié un communiqué de l'Autorité de l'information de Bahreïn.