Au total, 148 d'entre eux souffrent d'intoxications liées l'ingestion d'antibiotiques ou d'antalgiques.
La version officielle présentée par les autorités pour expliquer les récents décès a été mise en doute par des organisations de défense des droits de l'homme.
Des prisonniers avaient profité de violentes manifestations dans la prison le 24 novembre dernier pour accéder à l'infirmerie et s'emparer de divers produits, notamment des antibiotiques et des cachets contre l'épilepsie et l'hypertension.
Des émeutes sanglantes dans ce même pénitencier avaient fait 50 morts l'année passée.